Achat de Maison #Immobilier

Perspectives du marché immobilier canadien 2025

Perspectives du marché immobilier canadien 2025

Table des matières


    Résumé du rapport national sur le marché immobilier

    • Le prix de vente moyen d’une propriété au Canada a diminué de 2,1 % d’une année sur l’autre pour atteindre 712 200 $ en mars 2025.
    • Le prix de vente moyen d’une maison unifamiliale au Canada a diminué de 1,8 % d’une année sur l’autre pour atteindre 787 600 $ en mars 2025.
    • Le prix de vente moyen d’une maison en rangée/multiplex au Canada a diminué de 2,6 % d’une année sur l’autre pour atteindre 653 200 $ en mars 2025.
    • Le prix de vente moyen d’un condo au Canada a diminué de 3,4 % d’une année sur l’autre pour atteindre 512 300 $ en mars 2025.
    • Le loyer moyen au Canada a diminué de 1,9 % d’une année sur l’autre pour atteindre 2 101 $ en mars 2025.
    • 26 avril, 2025 : Le taux hypothécaire le plus bas au Canada aujourd’hui est de pour un prêt fixe de 5 ans.

    Meilleurs taux hypothécaires

    Fixe
    Variable
    au

    0.00%3 Year Fixe

    Obtenez votre taux

    0.00%5 Year Fixe

    Obtenez votre taux
    Voir tous les taux

    Prix de vente composite

    Le prix de vente moyen d’une propriété au Canada était de 712 200 $ en mars 2025, il a donc inchangé de 0,0 % par rapport au mois précédent. D’une année sur l’autre, les prix des propriétés au Canada ont diminué de 2,1 % au cours des 12 derniers mois.

    Prix des maisons unifamiliales

    Le prix de vente moyen d’une maison unifamiliale au Canada était de 787 600 $ en mars 2025, il a donc diminué de 0,2 % par rapport au mois précédent. D’une année sur l’autre, les prix des maisons unifamiliales au Canada ont diminué de 1,8 % au cours des 12 derniers mois.

    Prix des maisons de ville et multiplex

    Le prix de vente moyen d’une maison de ville au Canada était de 653 200 $ en mars 2025, il a donc augmenté de 0,2 % par rapport au mois précédent. D’une année sur l’autre, le prix d’une maison de ville au Canada a diminué de 2,6 % au cours des 12 derniers mois.

    Prix des condos

    Le prix de vente moyen d’un condo au Canada était de 512 300 $ en mars 2025, il a donc augmenté de 0,3 % par rapport au mois précédent. D’une année sur l’autre, le prix d’un condo au Canada a diminué de 3,4 % au cours des 12 derniers mois.

    We’re curious…

    Are you a first-time buyer?


    Aperçu du marché immobilier au Canada

    Les données de l’Association canadienne de l’immobilier (ACI) indiquent que le prix de référence de revente des maisons résidentielles vendues au Canada en mars 2025 était de 712 200 $, il a donc diminué de 2,1 % par rapport à l’année précédente.

    L’ACI a également indiqué que le ratio ratio ventes/nouvelles inscriptions (SNLR) était de 45,9 %, ce qui indique un marché équilibré à l’échelle nationale pour mars 2025.


    La patience est de mise sur le marché immobilier canadien ce printemps

    Le marché immobilier canadien montre des signes précoces de dégel saisonnier, mais la reprise reste lente en raison des préoccupations liées à l’abordabilité, à l’incertitude économique et à un manque d’empressement chez les acheteurs. Les régions plus abordables enregistrent une croissance modeste, tandis que les grands centres urbains plus dispendieux stagnent.

    • 📉 La demande demeure faible : Les acheteurs sont encore sensibles aux prix et prudents face aux taux d’intérêt.
    • 🏡 L’inventaire augmente lentement : Une légère hausse des inscriptions aide à rééquilibrer le marché.
    • 💸 L’abordabilité est cruciale : Ce sont les régions avec un prix d’entrée plus bas qui stimulent l’activité.
    • 📊 Prix de référence de l’ACI : Les prix de référence nationaux sont restés relativement stables sur un an.
    • 🌍 Les pressions externes persistent : Les perturbations commerciales et l’incertitude mondiale continuent de représenter des risques importants.

    Aperçu du marché national – Mars 2025

    • Les acheteurs restent en attente : Selon RBC, de nombreux acheteurs canadiens préfèrent patienter en attendant des signaux plus clairs de la Banque du Canada et une stabilisation des tensions commerciales mondiales.
    • Une reprise à deux vitesses : Royal LePage observe une augmentation de l’activité dans les régions plus abordables (p. ex. : Canada atlantique, certaines parties des Prairies), tandis que les marchés coûteux comme Toronto et Vancouver demeurent calmes.
    • Données de l’ACI pour mars : Les ventes résidentielles ont légèrement augmenté d’un mois à l’autre, mais restent sous la moyenne des dix dernières années. L’offre s’améliore progressivement, offrant plus de choix aux acheteurs.
    • Le sentiment est prudent : Les retombées économiques liées au commerce et la volatilité des obligations affaiblissent la confiance des acheteurs, RBC signalant une baisse marquée du sentiment du marché.
    • Les vendeurs tiennent leur bout : Malgré la demande en baisse, les prix n’ont pas chuté de façon significative — ce qui montre que les vendeurs misent encore sur un rebond du marché.

    Analyse du marché

    Les prix des maisons au Canada demeurent généralement stables, selon les données de l’ACI, qui montrent de faibles hausses mensuelles dans certaines régions abordables. Même si les prix de référence nationaux ont peu varié sur un an, la légère hausse de l’inventaire contribue à équilibrer l’offre et la demande. Cette augmentation progressive des inscriptions donne plus de choix aux acheteurs sans faire basculer le marché d’un côté ou de l’autre.

    La demande reste modérée, surtout en raison des préoccupations liées à l’abordabilité et de l’incertitude entourant l’évolution des taux d’intérêt. Plusieurs acheteurs préfèrent rester en retrait, espérant une baisse du taux directeur de la Banque du Canada avant de se lancer. Dans les grands centres urbains comme Toronto et Vancouver, les ventes sont faibles, reflet du défi que représentent encore les prix élevés. En revanche, les marchés régionaux où les prix moyens sont sous la barre des 500 000 $ — comme certaines régions des Prairies et du Canada atlantique — connaissent une activité plus stable, les acheteurs y recherchant un meilleur rapport qualité-prix et une certaine stabilité économique.

    La situation varie aussi selon les provinces. En Ontario et en Colombie-Britannique, les prix élevés continuent de limiter l’accessibilité malgré un inventaire plus avantageux. Le Québec présente des résultats partagés, Montréal faisant preuve de plus de résilience que les régions avoisinantes. Dans l’ensemble, même si le marché progresse lentement, la reprise dépendra fortement de l’abordabilité et des signaux économiques à venir.


    Prévisions du marché d’un mois sur l’autre pour le Canada

    Transactions – Nombre de ventes

    Le nombre de ventes au Canada a été de 35 517 en mars 2025, il a donc diminué de 4,8 % par rapport au mois précédent. D’une année sur l’autre, les ventes au Canada ont diminué de 12,2 % au cours des 12 derniers mois.

    Nouvelles inscriptions

    Le nombre de nouvelles inscriptions au Canada a été de 77 379 en mars 2025, il a donc augmenté de 3,1 % par rapport au mois précédent. D’une année sur l’autre, les nouvelles inscriptions au Canada ont augmenté de 10,5 % au cours des 12 derniers mois.

    Marché immobilier

    Le ratio ventes/nouvelles inscriptions au Canada était de 45,9 % en mars 2025, ce qui indique un marché équilibré. Sur une base mensuelle, c’est une diminué de 7,6 % par rapport au mois précédent. Le ratio annuel ventes/nouvelles inscriptions au Canada a diminué de 20,6 % au cours des 12 derniers mois.

    Le ratio ventes/nouvelles inscriptions est le nombre de ventes de logements par rapport aux nouvelles inscriptions. Un ratio inférieur à 40 % indique un marché d’acheteurs, qui ont l’avantage et un plus grand pouvoir de négociation. Un ratio compris entre 40 et 60 % est un marché équilibré, tandis qu’un ratio supérieur à 60 % est considéré comme un marché de vendeurs.

    Modifications annuelles du prix composite provincial

    Variations annuelles du prix composite national


    Les taux élevés ont-ils un impact sur votre expérience du marché immobilier ?

    Avec nesto, vous pouvez obtenir un bas taux avec une retenue de 150 jours.

    Les loyers demandés sont en baisse depuis six mois consécutifs

    En mars 2025, le loyer moyen demandé au Canada s’établissait à 2 119 $, soit une baisse de 2,8 % par rapport à l’année précédente. Il s’agit du sixième mois consécutif de recul annuel des loyers. Toutefois, on observe une hausse mensuelle de 1,5 %, la première depuis septembre 2024, suggérant un possible regain saisonnier de la demande.

    Tendances selon le type de logement

    • Logements locatifs construits expressément à cette fin : Au cours des cinq dernières années, les loyers ont grimpé de 35,5 %, atteignant une moyenne de 2 086 $. Malgré cette croissance à long terme, on note une baisse de 1,5 % sur un an.
      Condos locatifs : Les loyers moyens ont reculé de 3,8 % sur un an, pour atteindre 2 232 $, affichant une croissance marginale de 0,6 % depuis cinq ans.
    • Taille des logements : Les unités de trois chambres dans les immeubles locatifs construits à cette fin ont connu une hausse annuelle de 3,7 %, atteignant 2 711 $, tandis que les studios ont augmenté de 1,8 % à 1 593 $. À l’inverse, les logements d’une et deux chambres ont vu leur loyer reculer de 2,2 %, se situant respectivement à 1 883 $ et 2 280 $.

    Aperçu provincial

    Les tendances locatives de mars 2025 révèlent un marché globalement en repli dans la majorité des provinces, avec quelques exceptions. En Ontario, les loyers moyens ont diminué de 3,5 % sur un an, pour s’établir à 2 327 $, tandis qu’au Québec, ils ont baissé de 2,5 %, atteignant 1 949 $. En Colombie-Britannique, la diminution a été plus modeste à 0,6 %, avec un loyer moyen de 2 480 $. En Alberta, une légère baisse de 0,4 % a ramené le loyer moyen à 1 721 $. À l’inverse, la Saskatchewan a enregistré une hausse notable de 3,0 %, avec un loyer moyen de 1 336 $, tandis que le Manitoba a vu une augmentation de 2,0 %, atteignant 1 592 $. En Nouvelle-Écosse, les loyers ont progressé de 2,4 % sur un an pour s’établir à 2 199 $, confirmant l’attrait croissant des provinces maritimes dans un contexte de recherche d’abordabilité.

    Faits saillants dans les grands centres urbains

    Dans les grandes villes canadiennes, les loyers continuent de baisser. À Toronto, ils ont chuté de 6,9 % sur un an, atteignant 2 589 $, marquant une 14e baisse annuelle consécutive. À Vancouver, les loyers ont diminué de 5,7 %, pour s’établir à 2 822 $, leur plus bas niveau en près de trois ans. Calgary a connu la baisse la plus prononcée parmi les grandes villes, avec une chute de 7,8 % à 1 915 $, soit un creux de deux ans. À Côte-Saint-Luc, en banlieue de Montréal, on observe une baisse spectaculaire de 20,3 % du loyer annuel demandé, principalement en raison d’un changement dans le type d’unités offertes, s’éloignant des segments haut de gamme.

    Colocations

    Le segment des logements partagés a également subi des pressions à la baisse. En mars, le loyer moyen demandé pour une colocation était de 959 $, soit une baisse de 4 % par rapport à l’année précédente. Bien que le nombre d’annonces ait augmenté de 7 %, il demeure 25 % en deçà du sommet enregistré en janvier. Plusieurs grandes villes ont connu des baisses : à Toronto, les loyers ont diminué de 8 % à 1 166 $, et à Montréal, de 9 % à 862 $. Fait notable, Ottawa a dérogé à la tendance nationale, avec une hausse de 7 % du loyer moyen, atteignant 1 018 $.

    Le marché locatif canadien traverse une période de transition. Bien que les moyennes nationales indiquent un assouplissement, la récente hausse mensuelle laisse entrevoir un possible début de stabilisation. L’achèvement record de nouveaux appartements continue d’exercer une pression à la baisse sur les loyers, en particulier dans les centres urbains. Toutefois, la demande soutenue pour les logements plus spacieux et les provinces plus abordables souligne certains signes de résilience.

    Pas de parti pris des grandes banques, juste des experts sans commission prêts à vous aider.

    Obtenez l’approbation de votre bas taux dès aujourd’hui

    Résumé des loyers du marché

    Le loyer moyen au Canada était de 2 101 $ en mars 2025, il a donc diminué de 1,9 % d’une année sur l’autre.

    Le loyer moyen pour un studio au Canada était de 1 602 $ en mars 2025, il a donc augmenté de 1,3 % d’une année sur l’autre.

    Le loyer moyen pour un logement d’une chambre à coucher au Canada était de 1 899 $ en mars 2025, il a donc diminué de 2,6 % d’une année sur l’autre.

    Le loyer moyen pour un logement de 2 chambres au Canada était de 2 292 $ en mars 2025, il a donc diminué de 2,6 % d’une année sur l’autre.

    Le loyer moyen pour un logement de 3 chambres au Canada était de 2 721 $ en mars 2025, il a donc augmenté de 3,3 % d’une année sur l’autre.

    Comment la location se compare-t-elle à l’accession à la propriété ?

    Chaque tranche de 100 000 $ de solde hypothécaire coûte en moyenne 517,39 $ par mois avec le taux fixe de 5 ans le plus bas de nesto à et 527,84 $ par mois avec le taux ajustable de 5 ans le plus bas de nesto à .  Pour chaque tranche de 100 000 $ de solde hypothécaire, une variation de 0,25 % du taux directeur du Canada affecte le paiement mensuel de 13,71 $. Les taux utilisés pour le calcul sont ceux offerts pour les achats assurés avec une mise de fonds inférieure à 20 % sur un amortissement de 25 ans. Le taux directeur au Canada est , et le taux préférentiel de nesto est .

    Variations des prix de location par ville

    Variations des prix de location par province

    Croissance du prix de location par type de logement

    Vous commencez votre parcours résidentiel ?
    Commencez par un bas taux.

    Discutez avec un expert nesto aujourd’hui, sans commission, et obtenez votre taux.

    Questions fréquentes (FAQ) sur les perspectives du marché immobilier canadien pour 2025

    2025 sera-t-elle une bonne année pour acheter une maison au Canada ?

    2025 pourrait être une année idéale pour les acheteurs de maison, car les prix des logements au Canada devraient se stabiliser, offrant une fenêtre d’opportunité à ceux qui souhaitent entrer sur le marché. Avec une demande qui devrait rester forte dans les grandes villes comme Toronto, Vancouver et Montréal, les acheteurs devraient agir rapidement dans les régions où les prix sont plus abordables. L’augmentation potentielle de l’inventaire des logements et la réduction des hausses de prix rendront l’accession à la propriété plus réalisable pour les acheteurs financièrement préparés.

    Les prix des maisons au Canada devraient-ils baisser en 2025 ?

    Les prix des maisons au Canada devraient se stabiliser plutôt que de baisser fortement en 2025. Bien que certaines régions puissent connaître de légères corrections de prix, des facteurs tels que la faible offre de logements, la croissance démographique et la demande continue maintiendront les prix relativement stables. Les grands centres urbains pourraient connaître des augmentations modestes, tandis que les marchés secondaires pourraient offrir une meilleure accessibilité. Surveiller les tendances du logement aidera les acheteurs à identifier les zones où les prix sont plus favorables.

    Le marché immobilier canadien sera-t-il toujours en bulle en 2025 ?

    La spéculation sur une bulle immobilière persiste, mais les experts prévoient que le marché immobilier canadien entre dans une période de stabilisation plutôt que d’effondrement. Les pénuries de logements, en particulier dans les régions à forte demande comme Toronto et Vancouver, empêchent des baisses de prix importantes. Bien que des défis liés à l’accessibilité subsistent, le marché canadien est plus susceptible de connaître un atterrissage en douceur, avec des prix des maisons équilibrés à mesure que l’offre s’améliore.

    Quelles sont les prévisions pour les prix des maisons au Canada en 2025 ?

    Les prix des maisons au Canada devraient rester stables, avec de légères augmentations dans les principaux marchés. Les déséquilibres entre l’offre et la demande continueront de stimuler la croissance, en particulier dans les régions où l’inventaire des logements est limité. Des villes comme Vancouver, Montréal et Toronto resteront compétitives en raison de la demande persistante, tandis que les marchés secondaires pourraient offrir une meilleure accessibilité pour les acheteurs. Surveiller les prévisions régionales des prix aidera à identifier les zones avec des prix stables ou plus bas.

    Comment la croissance démographique influencera-t-elle les prix des maisons au Canada en 2025 ?

    La forte croissance démographique au Canada continuera de faire pression à la hausse sur les prix des maisons en 2025. La demande accrue pour des logements, en particulier dans les centres urbains, dépassera la croissance de l’offre, maintenant des prix compétitifs. Les efforts pour améliorer la construction et résoudre les pénuries d’approvisionnement pourraient aider à équilibrer le marché avec le temps, mais les zones à forte demande devraient continuer à montrer une résilience des prix.

    L’accessibilité des logements s’améliorera-t-elle en 2025 ?

    L’accessibilité des logements au Canada restera un défi majeur en 2025, surtout dans des villes comme Toronto et Vancouver où la demande dépasse de loin l’offre. Bien que les prix des maisons se stabilisent, les améliorations en matière d’accessibilité dépendront de l’augmentation de l’inventaire des logements et de conditions de marché plus équilibrées. Les acheteurs à la recherche d’options abordables devraient explorer des marchés secondaires ou des régions émergentes où les prix restent plus accessibles.

    Pourquoi choisir nesto

    Chez nesto, nos experts hypothécaires sans commission et certifiés dans de nombreuses provinces fournissent des conseils et un service exceptionnels qui dépassent les normes du secteur. Nos experts hypothécaires sont des employés salariés non commissionnés qui fournissent des conseils impartiaux sur les options hypothécaires adaptées à vos besoins et sont évalués en fonction de la satisfaction des clients et de la qualité de leurs conseils. nesto vise à transformer le secteur hypothécaire en fournissant des conseils honnêtes et des taux compétitifs à l’aide d’un processus entièrement numérique, transparent et fluide.

    nesto a pour mission d’offrir une expérience de financement hypothécaire positive, transparente et simplifiée du début à la fin.

    Contactez nos experts hypothécaires agréés et qualifiés pour trouver votre meilleur taux hypothécaire au Canada.

    EXPLICATIONS

    Taux d’intérêt

    Valeurs de propriété

    L’Indice des prix des propriétés

    Types de propriétés

    Catégories de propriété

    L’assurance strate

    Valeurs de loyers

    Critères de qualification

    Titres professionnels réglementés

    Experts hypothécaires

    Taux d’intérêt

    Basé sur les taux fixes de 5 ans assurés et non assurés de nesto tels qu’annoncés sur notre site Web. Pour aujourd’hui, samedi, 26 avril, 2025, nos exemples de calculs sont basés sur nos taux les plus bas, qui peuvent ou non s’appliquer à votre situation de financement particulière ou à vos objectifs à long terme. Les hypothèques à taux fixe assurées seront qualifiées à , ce qui représente exactement 2% de plus que notre taux fixe assuré actuellement à . Les hypothèques à taux fixe non assurées seront qualifiées à , soit exactement 2 % de plus que notre taux fixe non assuré actuellement à . Les hypothèques à taux variable assurées seront qualifiées à , soit exactement 2 % de plus que notre taux variable assuré actuellement à . Les prêts hypothécaires à taux variable non assurés seront qualifiés à , ce qui représente exactement 2 % de plus que notre taux variable non assuré actuellement à .

    Nous vous remercions de votre patience et de votre compréhension et vous encourageons à nous envoyer un courriel à l’adresse website@nesto.ca pour nous faire part des informations qui doivent être corrigées, accompagnées de vos sources.

    Valeurs de propriété

    Les valeurs des propriétés recensées par l’ACI ou l’APCIQ sont présentées comme la référence composite ou les prix moyens pour chaque ville/province/région, à moins que cela ne soit précisé. Elles peuvent être indifféremment appelées prix moyens des propriétés, bien qu’un prix moyen puisse ne pas être disponible pour de nombreuses régions en dehors du Québec.

    L’Indice des prix des propriétés MLS® (IPP)

    L’Indice des prix des propriétés MLS® (IPP) est un indice des prix de l’immobilier compilé par l’Association canadienne de l’immobilier (ACI) qui suit l’évolution du prix des propriétés dans votre quartier. Il s’agit d’un moyen rapide pour les Canadiens de comparer les prix des propriétés dans différentes régions du Canada et entre différentes périodes, sans avoir à tenir compte des caractéristiques uniques d’une propriété particulière.

    Alors que les prix du marché peuvent varier d’un mois à l’autre en fonction de facteurs saisonniers, l’indice des prix des propriétés (IPP) offre une vision plus cohérente et permet de suivre l’évolution des prix sur une période prolongée. L’indice des prix des propriétés (IPP) est mis à jour sur une base annuelle, en mai, afin de refléter les changements survenus sur les marchés immobiliers.

    L’IPP MLS® est le moyen le plus exhaustif et le plus précis de suivre le niveau et les tendances des prix des propriétés d’un quartier. L’IPP MLS se fonde sur plus de 15 ans de données provenant du système MLS® et sur des modèles statistiques avancés pour créer une propriété « typique » en fonction des caractéristiques des propriétés achetées et vendues. Cette propriété de référence fait l’objet d’un suivi dans tous les quartiers du Canada et pour divers types de propriétés.

    Types de propriétés

    Les maisons unifamiliales, également appelées maisons individuelles, sont des propriétés résidentielles autonomes qui ne sont pas reliées à d’autres bâtiments. Il s’agit d’une unité résidentielle unique légale sur sa propre parcelle de terrain et d’un titre de propriété séparé.

    Les maisons jumelées se caractérisent par leur conception architecturale unique, où deux maisons sont construites côte à côte et partagent un mur mitoyen. Bien qu’elles partagent un bâtiment, les maisons jumelées ont leur propre parcelle de terrain et des titres de propriété distincts.

    Les maisons de ville sont des habitations résidentielles généralement caractérisées par des structures étroites et hautes, partageant souvent des murs avec les unités voisines. Bien qu’elles puissent partager des cours ou des éléments communs avec leurs voisins, les maisons de ville ont des titres de propriété distincts de ceux des bâtiments adjacents. Les maisons de ville peuvent être achetées en pleine propriété ou en location au sein d’une copropriété ou d’une strate et peuvent être accompagnées de leur propre parcelle de terrain. Les maisons de ville peuvent faire partie d’un immeuble de faible ou de grande hauteur.

    Les condominiums, également appelés copropriétés, sont des propriétés résidentielles qui combinent des éléments d’appartements et de propriétés individuelles. Il s’agit d’une unité au sein d’un immeuble ou d’un complexe plus vaste appartenant à un particulier qui partage également la propriété des parties communes et des équipements avec les autres résidents. Les propriétaires de condos sont légalement propriétaires de leurs unités et peuvent les modifier dans le cadre des directives établies par le syndicat des copropriétaires. Contrairement aux maisons de ville, les condos n’offrent pas l’usage exclusif de l’espace extérieur, à moins qu’ils ne soient dotés d’un balcon ou d’une terrasse. Les condos peuvent faire partie d’un immeuble de faible ou de grande hauteur.

    Les plexes ou multiplexes sont des immeubles résidentiels uniques composés de 2 à 6 unités au sein d’une même structure. Traditionnellement, ils sont conçus comme des immeubles résidentiels de faible hauteur où chaque unité est accessible par une entrée extérieure, les étages supérieurs étant reliés par des escaliers. Chaque unité dispose d’une immatriculation et d’un titre de propriété distincts, mais peut partager des éléments communs et des charges de copropriété avec les autres propriétaires du multiplexe. Les plex sont courants au Québec et dans les vieux quartiers de Toronto.

    Catégories de propriété

    La pleine propriété est un type de propriété dans lequel un individu ou une entité possède des droits de propriété complets et indéfinis sur une propriété et sa parcelle de terrain. Les types de propriété en pleine propriété les plus courants sont les maisons unifamiliales, les maisons jumelées, les fermes et les maisons de ville qui ne font pas partie d’un syndicat de copropriétaires.

    Un condominium ou une copropriété est une catégorie de propriété distincte qui combine la vie en appartement et la propriété individuelle. Dans un condominium, les unités individuelles appartiennent aux résidents, tandis que les parties communes et les équipements sont partagés entre tous les propriétaires d’unités. Ce type de propriété vous donne des droits sur votre unité spécifique et certains droits et responsabilités sur les parties communes, comme les corridors, les ascenseurs, le garage, la piscine et les terrasses sur les toits.

    Le bail est un accord juridique en vertu duquel une personne ou une entité détient le droit d’utiliser et d’occuper une propriété pendant une période déterminée, en général par le biais d’un contrat de bail. Dans certains cas, le titulaire du bail peut être propriétaire du bâtiment ou de l’unité et louer le terrain au propriétaire foncier (bailleur).

    L’assurance strate

    L’assurance strate est une assurance qu’une strate ou une copropriété utilise pour couvrir les dommages causés aux parties communes, aux actifs et aux passifs de la strate. Elle peut également couvrir les équipements construits ou installés dans le cadre de la construction initiale de chaque unité, même s’il ne s’agit pas de structures communes. L’assurance de la copropriété peut couvrir les éléments suivants :

    • Bâtiments et structures sur la propriété de la strate, y compris les parties communes comme le garage, le toit, le hall d’entrée, la piscine, etc,
    • Les responsabilités pour tout dommage matériel ou corporel dû à une blessure subie sur une propriété de la strate,
    • Ce qui inclut également les installations dans l’unité standard ou une partie de la fabrication d’origine de chaque unité.

    L’assurance de la copropriété ne couvre généralement pas les effets personnels et les appareils électroménagers dans une unité de copropriété. Les dommages causés par des propriétaires d’unités individuelles (par exemple, un dégât des eaux dû à la négligence d’un propriétaire d’unité) sont généralement couverts par l’assurance personnelle de la copropriété.

    Valeurs de loyers

    Nos moyennes de loyers mensuelles ou d’une année à l’autre proviennent du rapport national sur les loyers d’Urbanation, publié mensuellement sur Rentals.ca.

    Critères de qualification hypothèques

    Les critères d’admissibilité assurés se limitent à un ratio d’amortissement brut de la dette (ABD) de 39 % et à une période d’amortissement maximale de 25 ans. Pour les calculs des transactions hypothécaires assurées, nous avons utilisé dans nos exemples une mise de fonds de 20 %, sauf indication contraire, et exclu toute prime d’assurance prêt hypothécaire (SCHL). Les critères d’admissibilité non assurés sont limités à un ratio de 35 % de l’amortissement brut de la dette (ABD) et à une période d’amortissement maximale de 30 ans. Nous nous sommes basés sur une mise de fonds de 20 % pour les calculs de transactions hypothécaires non assurées dans nos exemples. Sauf indication contraire, un coût de chauffage mensuel de 100 $ est attribué au paiement mensuel total soumis à la simulation de crise.

    Les taux d’imposition municipaux sont les plus récents indiqués sur le site Web de la municipalité concernée (le taux de 1 % est utilisé par défaut lorsqu’il n’est pas disponible ou pour une région dont le taux d’imposition n’est pas spécifié). L’assurance prêt hypothécaire n’est pas autorisée pour les achats dont la valeur est égale ou supérieure à 1 million de dollars, pour les amortissements supérieurs à 25 ans ou pour les opérations de refinancement.

    Titres professionnels réglementés

    Les provinces du Québec (AMF) et de Terre-Neuve-et-Labrador (Digital & Government Service NL) utilisent toutes deux exclusivement le titre de courtier hypothécaire pour l’octroi des licences.

    En Ontario (FSRA), les courtiers et les agents hypothécaires servent tous deux d’intermédiaires entre les emprunteurs et les prêteurs, en aidant les clients à trouver les options hypothécaires les plus adaptées à leur situation financière. Un agent hypothécaire travaille sous la supervision d’un courtier hypothécaire et participe à la procédure de demande d’hypothèque. Le courtier hypothécaire peut également être responsable des exigences de conformité pour son agence de courtage ou son équipe.

    La Colombie-Britannique (BCFSA) reconnaît deux rôles distincts au sein du secteur hypothécaire : le courtier en sous-hypothèques et le courtier hypothécaire. Ces postes ont des responsabilités et des fonctions spécifiques qui contribuent au processus global d’obtention d’hypothèques pour les clients. Le courtier hypothécaire auxiliaire travaille sous la supervision d’un courtier hypothécaire titulaire d’une licence et participe à diverses tâches, comme la collecte d’informations sur les clients, l’établissement de documents et la liaison avec les prêteurs. Le courtier hypothécaire supervise l’ensemble du processus de demande d’hypothèque, y compris l’évaluation des besoins du client, la recherche d’options hypothécaires appropriées, la négociation des conditions et le respect des réglementations.

    En Alberta (RECA) et au Nouveau-Brunswick (FCNB), la distinction entre un associé en hypothèques et un courtier hypothécaire réside dans leurs rôles et responsabilités au sein du secteur hypothécaire. Un associé en hypothèques travaille généralement sous la supervision d’un courtier hypothécaire et participe à la procédure de demande d’hypothèque en rassemblant les documents nécessaires et en apportant son soutien aux clients. Un courtier hypothécaire est autorisé à négocier et à organiser des prêts hypothécaires pour le compte de ses clients, ce qui lui permet d’offrir une gamme plus complète d’options hypothécaires et d’acquérir une plus grande expertise dans ce domaine.

    En Saskatchewan (FCAA) et en Nouvelle-Écosse (Government of Nova Scotia, Business Licensing), il existe des rôles distincts pour les courtiers hypothécaires associés et les courtiers hypothécaires. La différence majeure réside dans le niveau d’expérience et les exigences en matière de licence. Les courtiers hypothécaires associés travaillent sous la supervision d’un courtier hypothécaire titulaire d’une licence et sont en début de carrière. Ils peuvent aider à recueillir des informations sur les clients et à préparer des demandes d’hypothèque. Les courtiers hypothécaires ont obtenu les qualifications et les licences nécessaires pour travailler de manière indépendante et fournir des services hypothécaires directement aux clients. Ils sont habilités à négocier les conditions du prêt hypothécaire, à conseiller les clients et à faciliter le processus hypothécaire du début à la fin.

    Au Manitoba (MSC), un vendeur est principalement responsable de la promotion et de la vente de produits ou de services, tandis qu’un agent agréé est habilité à prendre des décisions juridiquement contraignantes au nom de l’organisation. Ces rôles sont assortis de différents niveaux d’autorité et d’expertise, le vendeur se concentrant sur les ventes et l’agent agréé ayant des pouvoirs de décision plus étendus et assurant la liaison entre la société de courtage et l’organisme de réglementation.


    Pour une liste complète des termes de licence au Canada, veuillez consulter la liste publiée par le Conseil des régulateurs des courtiers en hypothèques du Canada (CRBHC).

    Experts hypothécaires de nesto

    Les titres comme courtier hypothécaire, agent hypothécaire, courtier en sous-hypothèques, vendeur de prêts hypothécaires ou courtier principal sont des termes de licence réglementés au niveau provincial et assortis d’exigences de formation propres à chaque province. Toutefois, ils peuvent tous être désignés sous le nom de courtiers hypothécaires. En Ontario, où on utilise le terme d’agent hypothécaire,

    Les courtiers hypothécaires ou les courtiers principaux ont une responsabilité supplémentaire en matière de conformité et de formation des agents hypothécaires.Les conseillers en hypothèques titulaires d’un permis utilisent souvent la norme du secteur, à savoir « courtier en hypothèques », « courtier » ou « conseiller », pour se désigner eux-mêmes. Toutefois, les exigences en matière de divulgation des titres des conseillers hypothécaires agréés varient d’une province à l’autre au Canada. Ces divulgations exigent des courtiers hypothécaires qu’ils respectent des règles spécifiques lorsqu’ils utilisent des titres pour représenter leurs qualifications et leur expertise. Les provinces disposent de règlements et de lignes directrices qui régissent l’utilisation des titres par les courtiers hypothécaires. Ces règlements visent à assurer la transparence et à protéger les consommateurs dans le secteur hypothécaire.


    Prêt à vous lancer?

    En quelques clics vous aurez accès à nos meilleurs taux. Ensuite, vous pourrez appliquer en ligne pour votre hypothèque en quelques minutes!

    Meilleurs taux hypothécaires

    Fixe
    Variable
    au

    0.00%3 Year Fixe

    Obtenez votre taux

    0.00%5 Year Fixe

    Obtenez votre taux
    Voir tous les taux